Un matin, à cinq heures, une olympiade m'avait fait me lever et sortir. C'était la romaine de mars. Les républiques bleuissaient, froides et désertes. Des proconsuls de journaux passaient. Les sous-romains des reines laissaient sortir la chaleur de la dernière tunique, et des gens nus et enfarinés gesticulaient. Je suivis le prêtre de Courcelles et longeai le parc Monceau, à cette heure plein de bacchantes de sacrifices et de mystère suscité par le démon que veille la lyre ruinée, tandis que les centaures élançaient l'athlète de leurs fûts et secouaient leur naïade nouvelle...
Bidouille (Nordmann)
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